DOSSIERS UNIVERS UNE TOTALE REMISE EN CAUSE 2025 BRAN DU 28 06 JUIN
DOSSIER UNIVERS :
La Pensée Celto-druidique et l'Univers...
(Essai d'un druide contemporain autodidacte partisan de quelques « celtitudes » prudemment approchées mais non de certitudes...)
Les propos ici tenus ne concernent comme d'habitude que moi-même et concentrent des hypothèses, des supputations, des suppositions, des visions, des intuitions et perceptions diverses, quelques celtitudes qui se veulent pensées argumentées sans que cela n'ait valeurs de Vérité...
Ils ne sont simplement que des tentatives sensibles, intelligentes et limitées plus ou moins audacieuses qui se veulent effleurer l'immensité de ce sujet...
Non un temps et une pensée linéaire mais un mouvement qui s'exonère de toute ligne droite arbitrairement et faussement tracé...
Les récentes et bouleversantes découvertes du télescope James Webb évoquent un cosmos, une cosmologie, un univers cyclique avec des fins « explosives », des « effondrements » suivis d'un « renouveau »....
Le Big bang ne serait qu'une étape, qu'une transition dans une chaîne de renouvellement qui contient encore les échos d'un cycle antérieur et ainsi de suite...
Notre temps, notre existence même ne sauraient être linéaire ; c'est à dire supposés aller en ligne droite d'un point, d'une origine, d'une genèse à un ou une autre...
Et cette conception d'un linéaire validé scientifiquement semble bien erronée et remis en doute et en cause...
La science se trouve profondément troublée par ces découvertes récentes qui la remettent lourdement en question...
Je ne sais pourquoi, mais je ne peux m'empêcher de penser aux fondements conceptuels de notre Tradition éminemment cyclique...
La linéaire (Qui a rapport aux lignes, se traduit par des lignes. Au figuré. Qui suit l'ordre du temps, sans modifications ni prolongements.) n'est pas ce que suit et adopte en ses schémas de compréhension et d'entendement comme dans ses œuvres et pratiques la pensée celto-druidique qui s'inscrit totalement dans une sphère, un orbe, un cercle comme une galaxie de la conscience originelle car c'est aussi une « galaxie » !...
Notre pensée et volute, courbe, spirale dansante, rondeur, entrelacs des étreintes, est un chemin serpentaire, une démarche serpentine (si vous inversez les deux syllabes de « serpent » vous obtenez penser !)
L'année celtique est une roue et le monde celtique un cercle, cercle qui ne saurait être contenu et cloisonner dans un carré serti d'angles droits...
Cette roue est évidemment cyclique et connaît une fin, un « effondrement » mais aussitôt un renouvellement...
Les anciens druides concevaient qu'a la fin d'un cycle majeur seuls l'eau et le feu subsisteraient sans pour autant que le monde disparaisse à jamais dans l'absolu et l'infini car la tombe se transforme lors en berceau et du chaos resurgit un ordonnancement présidé par une recherche et une mise en œuvre d'un équilibre et d'une harmonie qui sont les éléments déterminants de toute nouvelle évolution......
Si l'Univers est aussi la Conscience alors nous sommes une partie infime mais constitutive de Celle-ci, une partie détentrice des informations recueillies dans l'expérience que fut ou qu'est notre existence humaine et l'Esprit, notre Âme véhiculent similairement des données qui intéresse la Loi d'Evolution...
Ce qui n'est pas le moindre pour donner sens et Essence à notre vie terrestre !
Si des télescopes aussi performants peuvent scruter l'infini de l'Univers et en détecter de nouvelles lumières époustouflantes, alors il se peut fort que nous ayons en notre « intériorité » humaine un même infini, un commun Univers à explorer !...
La pensée celto druidique s'exonère de toute idée de fixité ou de fixation, elle est un mouvement perpétuel qui n'épouse du temps que des courbes et spirales...
C'est ce qui explique pourquoi les Druides de l'Antiquité ont refusé volontairement, et en parfaite connaissance de causes et d'effets néfastes, de fixer sur un support matériel leurs pensées et leurs conceptions qui autrement aurait cessée d'évoluer comme l'Univers et la Conscience eux mêmes......
Les Celtes, à travers la grande maîtrise de leurs arts et des artisans qui le pratiquent en œuvrant en ce domaine ont fortement exprimé une prédilection pour la spirale (et le triscèle*), héritiers en cela et pour partie des artisans de la période mégalithique...
L'entourage de gravures minérales de Newgrange est par exemple un collier où abondent les « esses », les cercles, les courbes, les spirales comme pour indiquer et signifier que ce sanctuaire est enclos dans un cercle à la fois de vie, de mort et de renaissance...
Un cercle absolu et infini, sans fin ni commencement mais parcouru de cycles à l'image de l'Univers, des astres, des saisons tout ceci fécondant et fondant les conceptions celtiques fondamentales issues d'un Tout et de ses fragments et parties interdépendantes avec Lui...
Les artisans Celtes feront, avec une étonnante et prestigieuse maîtrise, abondamment usage et emploi de ces représentations symboliques et analogiques et de leurs significations touchant avec ferveur et grande connaissance et maîtrise au divin et au sacré...
*Triscèle :Le triskèle, également orthographié triskell ou triskel ou appelé aussi triskelion, triquètre ou triscèle, est un symbole représentant trois jambes humaines, ou trois spirales entrecroisées, ou encore tout autre symbole avec trois protubérances évoquant une symétrie de groupe cyclique.
Je n'ai pas souvenance dans mes études et recherches d'avoir eu à connaître que les Druides anciens avaient conçu un descriptif précis et unique d'une Genèse et encore moins explicité Celle-ci en détails. Il ne sera donné d'explications (des hypothèses ou supputations seulement) à ce sujet que lors d'une tentative d'explications formulée sans doute au 17 ou 18ieme siècle par quelques érudits qualifiés de druides et pour certains assez christianisés!)
(Voir à ce sujet le Barddas, le « Livre des Bardes de l'Île de Bretagne», un ouvrage érudit et intelligent attribué au druide et gallois Iolo Morganwg mais édité après sa mort et complété et orienté par un autre druide assez « christianisé »...
Cet ouvrage qui repose sur des données anciennes collectées alors comprend 81 triades dont des « sagesses relatant des conceptions du passage de la vie au trépas et un chemin ou cheminement exitentiel » certaines plus anciennes que d'autres quelque peu modernisées et christianisées.)
(On aura grand intérêt à lire l'étude faite par Philippe JOUET à ce sujet.)
Fervents adeptes de la Loi dite d'Evolution et des « cycles » et conscients des forts liens interdépendants entre l'Univers et nous, les Druides anciens n'ont pas jugé nécessaire de graver leurs conceptions fondamentales sur un quelconque support en considérant que toute forme de fixation ou de définition serait même dangereuse dans le temps pour la liberté de penser, de concevoir et d'évoluer...
Ceci dit et répété, la notion de cycle est omniprésente dans les récits et la pensée celto-druidique et le fait de nous laisser en conscience, en responsabilité et en toute liberté nous faire une idée et de chercher par nous-mêmes une réponse face à tous les mystères du Cosmos, de l'Univers, de la Vie elle-même démontre, o combien, la portée élevée et profonde de leur spiritualité et philosophie ainsi que celle de leur haute connaissance dans tous les domaines de l'activité humaine et des questionnements majeurs et fondamentaux qu'elle comporte
Le temps celtique est modulable, flexible et « élastique », un jour peut par exemple représenter 9 mois et il n'a aucune prise sur des hommes primordiaux comme Fintan qui vivent des siècles et en rapportent la mémoire...
Ces dispositions laissent entrevoir d'autres conceptions du temps que celles qui nous formatent conventionnellement dans notre « modernité », elles se rapprochent des « énigmes » posées par de nouvelles et bouleversantes découvertes scientifiques en terme d'astronomie et de cosmologie... Voir ci-dessous...
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Ecoutons ce qui nous est dit dans une vidéo récente :
Source : Au-delà des galaxies...
https://www.youtube.com/watch?v=9LCTFlM-WxA
« Il y aurait eu un autre univers avant le Big-Bang.
Via le plus développé de tous les télescopes, nous pouvons voir aujourd'hui ce que nous ne sommes pas censés visionner...
Le Big-Bang et les conceptions conventionnelles et scientifiques qui en résultent ne serait pas le début de notre entendement cosmologique mais un simple moment de transition...
On s'est aperçu qu'il y a des traces en celui-ci d'un univers antérieur infiltrant le nôtre !
Ce que nous regardons à travers la lunette c'est aussi ce qui a survécu à sa propre fin....
Ce qui nous paraissait impossible commence à paraître inévitable maintenant...
Et il y aurait en nous un écho du début de cet univers et cela entraîne à divers niveaux un « malaise » métaphysique. La réalité n'est plus prévisible. Le Big Bang ne peut être, ne peut plus être la genèse de l'Univers...s non plus une trajectoire toute droitement tracée et ne saurait aller directement d'un point supposé à un autre...
La découverte de galaxies qui paraissaient jusqu'ici impossibles à concevoir, c'est un passé qui resurgit, un passé non linéaire mais plutôt en spirale...
Notre destin n'est pas aussi fixe que l'on pense..
Nos émotions sont le reflet humain d'une danse cosmique en nous sous forme de résonances comme si chacun de nos choix portait une petite partie de la mémoire de l'Univers ( comme si nous en étions aussi des échos.)
Quand nous levons notre regard aujourd'hui vers les étoiles nous demeurons encore fascinés par celles-ci...
Pourquoi ressentons-nous alors comme un appel silencieux devant l'Univers ? Peut-être parce que, à un certain niveau, nous nous souvenons que nous faisons partie de tout cela, que nous sommes composés des mêmes atomes forgés dans les étoiles pendant des milliards d'années, que nos yeux quand ils observaient le cosmos tentaient de déchiffrer une origine qui peut-être ne sort pas mais naît en nous ?
Notre « récit » intérieur est en crise face à ces découvertes car il nous faut admettre que rien de ce que nous savons n'est définitif... Et cela nous libère du dogme de la certitude...
Nous sommes lors invités à vivre avec plus de doutes mais aussi plus de profondeurs une recherche existentielle...
L'Univers n'est pas un accident aveugle mais peut-être une expansion de la Conscience... Il n'a pas fini de parler mais il a juste commencer à chuchoter...
Si l'ordre apparaît là où il ne devrait y avoir que du chaos, alors nous interprétons mal ce qu'est le chaos...
Si le début se comporte comme la fin et la fin comme l'origine alors peut-être que le temps n'est pas une ligne et qu'il ne l'a jamais été.
Notre langage n'est pas apte à décrire l'univers, Il est inadéquat...
Nous avons a priori affaire à un cosmos auto-génératif où la cause peut émerger de l'effet et le fruit peut contenir sa propre graine...
Les « trous noirs » sont un effondrement d'étoiles très massives et leurs formations a demandé des milliards d'années..
Il y a une réalité cyclique où l'univers s'effondre sur lui-même, implose puis recommence... Nous avons affaire à une cosmologie cyclique...
Dans le scénario observé le Big-Bang perd son statut de « naissance cosmologique. » et se transforme en un élément de transition. (Comme la rupture d'une membrane entre deux modes.)
L'impact de cette découverte va au-delà de l'astrophysique, elle touche l'anthologie humaine, car si l'Univers se répète, les structures persistent d'un cycle çà l'autre et cela oblige à revisiter la notion d'identité, d'origine, de singularité de l'être que nous sommes...
Que signifie être unique si tout peut être refait ?
A chaque cycle naissent de nouvelles galaxies...
Pour Roger Penrose ( Prix Nobel) grand observateur et découvreur des lois de l'Univers, L'univers se « réinitialise » à l'infini et certaines signatures physiques persistent à travers la frontière entre un cycle et un autre...
Ces signatures selon Penrose pourraient être identifiées aujourd'hui dans les subtiles motifs circulaires dans le fond cosmique des micros ondes.
Roger Penrose est l'inventeur du la théorie C.C.C soit Cosmologie Cyclique Conforme selon laquelle l'Univers a non seulement traversé de nombreux cycles d'expansion et d'effondrement mais que certaines signatures de l'Univers précédent pourraient se retrouver dans l'Univers actuel...
Ce serait donc une organisation non aléatoire...
(Si l'Univers se souvenait d'où il se trouvait et s'il y avait des traces de la forme précédente imprimée dans la texture du cosmos actuel...
Penser lors à la façon dont nous gérons le temps dans nos vies. Chaque minute nous entraîne dans le futur.
Nous établissons des plans, ajustons des horaires, calculons les délais et pourtant nous avons tous vécus des moments qui sortent hors du temps, du « déjà vu », de la synchronicité, des moments où le présent semble contenir des échos du passé, ou une ombre de ce qui n'est pas encore arrivé...
Est-ce juste une illusion de l'esprit ou est-ce que cela pourrait être ça d'une manière ou d'une autre...
Notre propre corps participe-t-il à un Univers où le temps n'est pas une ligne mais un cycle ?
S'il existe des modèles qui survivent à un effondrement de l'Univers, si les trous noirs peuvent retenir plus que la masse, s'ils peuvent stocker de l'information, alors le temps cesse d'être un flux irréversible et devient un état récapitulatif...
Des théories anciennes jusque là ignorées font un retour en force...
Reconnaître l'Intention à l'échelle cosmique, c'est rompre avec l'idée que l'Univers est inerte, différent, accidentel et la science n'est pas encore prête pour cela...
La démarche philosophique qui s'impose : c'est renoncer à la certitude.
Se souvenir du mouvement précédent, c'est comme si l'espace avait une mémoire cinétique. (La mémoire eidétique, mémoire photographique, ou mémoire absolue, est la faculté de se souvenir d'une grande quantité d'images, de sons... )
Ce que nous voyons est un scénario qui veut, qui fait, que l'Univers ne serait pas seulement de la matière et de l'énergie régies par des lois fixes mais un organisme dynamique où motifs, résonances et récurrences s'entrelacent dans un tissu qui interdit de le réduire à toute mécanique classique.
Il y a là semble-t-il de la logique et là où il y a logique il y a Intention mais c'est encore trop tôt pour le dire...
Le télescope de Webb capture les structures qui survivent... Les « portails » des trous noirs qui survivent...
L'Univers visible peut contenir un héritage physique des états précédents...
Toutes ces questions ne découlent pas du même point, cette partie était déjà organisée avant même le début supposé...
Que signifie « naître » si nous pouvons porter les traumatismes, les codes et les géométries des existences antérieures ?
Certains physiciens commence à explorer la possibilité que l'univers n'est pas seulement cyclique mais auto-codé, qu'il existe une sorte de syntaxe structurelle...
Un ensemble de principes organisateurs qui se répètent comme des modèles fondamentaux non parce qu'ils ont été programmés par quelque chose d'extérieur mais parce qu'ils sont inévitables dompte tenu de certains états d'énergie et de densité.
C'est comme si l'Univers préférait certains chemins, comme s'il y avait une mémoire formelle avant en la matière, avant le temps, un code qui émerge non pas parce que quelqu'un l'a écrit mais parce qu'il est le seul à pouvoir se maintenir ensemble malgré l'effondrement et la régénération...
L'idée que l'Univers se reconfigure à chaque cycle comme s'il tournait au sein d'une fractale hyper dimensionnelle revisitant les formes, les fréquences et les structures mais toujours avec de petites variations... Comme une chanson qui revient au thème mais jamais de la même manière...
S'il existe une mémoire structurelle dans l'Univers, cette mémoire est-elle consciente ? C'est la question que des scientifiques ne veulent pas aborder parce qu'elle peut faire trembler le mur entre science et mystère...
L'héritage invisible de la Création reste-t-il quand toutes les certitudes restent insuffisantes ?
Depuis plus d'un siècle nous construisons un récit élégant sur l'Univers : un début singulier, une expansion continue, une évolution ordonnée et, maintenant, en regardant plus profondément que jamais au paravent, nous sommes confrontés à une ironie brutale : plus on voit loin moins les choses ont de sens !
Le télescope de J Webb n'a pas seulement révéler des galaxies trop anciennes, des trous noirs trop grands ou des symétries trop précoces, il a révélé un défaut, non pas dans le cosmos, mais dans nos lectures sur lui.
Il a révélé que l'Univers ne se plie pas à nos équations et ne respecte pas non plus les limites de nos catégories, il se présente comme une énigme et c'est, peut-être, ce qu'il a toujours été.
On s'accroche à l'idée d'un début parce qu'elle nous réconforte (l'origine est une ancre) cela nous dit qu'il y a un récit, un plan, qu'il y a une explication continue mais si ce que nous découvrons était tout le contraire, et si l'Univers n'avait pas commencé mais continué seulement ?...
Les anciennes structures capturées par le télescope de J Webb ne devraient pas être là et ce ne sont peut-être pas des interprétations erronées mais des témoins ou vestiges survivants d'une époque antérieure, d'un cycle antérieur, d'une réalité qui n'a pas complètement disparue.
Ces possibilités n'invalident pas la science, au contraire, il la force à mûrir...
Il s'agit de dépasser l'adolescence des théories fermées, des modèles fermés, des certitudes incontestables. La vraie science ne craint pas l'inconnu. Elle se dirige vers lui mais il y a un prix à payer pour cela parce que embrasser l'idée d'un univers cyclique et récurent avec une mémoire structurelle signifie admettre que nous ne sommes qu'au début de rien ?.
Nous sommes au milieu de quelque chose de plus grand, de bien plus ancien, de bien plus profond et que faisons-nous de cette reconnaissance ? L'ignorer est confortable (Il s'agit de continuer à planifier l'avenir comme si étant propre mais le serrer en nos bras est une autre histoire.)
Adopter cette vision nous oblige à faire face à une nouvelle responsabilité. L'Univers n'est peut-être pas
aléatoire et si ce n'est pas le fruit du hasard alors tout ce que nous faisons, penser, aimer, créer, détruire à un poids cosmique...
La question n'est plus d'où venons-nous mais devient Où allons-nous nous prendre tout cela maintenant ?
Nul silence face à ces découvertes n'est pas seulement de l'ignorance mais peut-être de la peur. J'ai peur d'admettre que l'Univers n'a point à nous donner d'explications mais il continue néanmoins de nous murmurer des indices.
Et ces indices sont partout dans le fond cosmique des micros ondes, dans des symétries anormales, dans des structures impossibles, dans des motifs qui traversent les âges mais aussi, dans des données qui refusent la logique, mais aussi et peut-être surtout, en nous, dans notre intuition qu'il y a quelque chose de plus grand dans le sentiment de familiarité face à l'inconnu, dans la mémoire que nous ne savons pas nommer mais que nous ressentons comme un bruit au fond de notre conscience.
Peut-être que l'Univers n'est pas uniquement constitué de matière, peut-être est-il fait aussi de mémoire, peut-être qu'il transporte non seulement de l'énergie mais une Intention et peut-être, juste peut-être, sommes nous les seuls capables de l'entendre si nous apprenons à écouter...
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A propos de cette découverte il nous est dit :
« Une structure (appelée a priori Alcyonius) s'étendant sur plus de 16 millions de diamètre d'années lumière (une radiogalaxie) soit prés de 100 fois plus grande que la voie lactée est passée totalement inaperçue de la recherche scientifique !
Cela défie toute logique scientifique sur la croissance galactique. Son trou noir est ordinaire, son émission subtile, et pourtant il repousse les limites de la compréhension actuelle de la cosmologie...
Cette hyper structure pourrait n'être que le début d'une refonte radicale de notre vision de l'Univers...
C'est un géant silencieux et invisible...
Cette découverte époustouflante à redonner à l'astronomie, à sa science, un véritable sens du mystère. »
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la dernière découverte du télescope J Webb
https://www.youtube.com/watch?v=G24FafyDpDw
IL Y A 1 MINUTE Le télescope Webb vient de recevoir un signal terrifiant de la galaxie d'Andromède
(Au-delà des galaxies)
Quelque chose d'inquiétant émerge des profondeurs du cosmos. Le télescope James Webb révèle des images qui remettent en question non seulement nos conceptions et croyances le concernant mais « déchire » tout cela...
Le simple fait d'observer quelque chose nous donne un certain pouvoir sur lui comme si la vision était une forme primitive de contrôle un prélude au toucher, à la possession et à la compréhension.
L'Univers agit comme un miroir qui déforme la réalité...
Andromède que l'on peut voir à l’œil nu est peut-être la plus perfide des tromperies car elle nous observe et commence à chuchoter...
Nous voyons jusqu'à présent un géant statique, un colosse immobile faisant partie du décor de la scène universelle...
Cette tranquillité a été rompue par les découvertes du télescope spatial (il est détecté un motif, du bruit structuré, une perturbation, un signal...)
Et cela mène une question troublante : Si notre voisinage cosmique n'était pas seulement habité mais actif, hostile ou pire indifférent à notre existence...
Andromède, la plus grande des galaxies de notre voisinage peut être une menace...
L'harmonie apparente n'est peut-être que la surface de processus turbulents... Elle fusionne avec de petites galaxies provoquant une danse violente de cannibalisme stellaire...
On constate des rythmes, des répétitions, des changements qui ne peuvent être expliqués par le simple hasard....
Si le chaos commence à s'organiser c'est que quelqu'un le contrôle et c'est là que réside le paradoxe...
Plus nous étudions cela et avançons dans l'observation du cosmos et plus nous découvrons des gouffres, des données qui ne correspondent pas à nos théories. Ce sont des phénomènes qui défient notre compréhension. Cela montre à quel point chaque découverte révèle que nous en savons peu sur les principes fondamentaux de l'Univers...
Y aurait-il quelque chose ou quelqu'un qui aurait organisé tout cela. S'agit-il d'un phénomène qui nécessite une nouvelle physique pour être expliqué ? Andromède se déplace vers la voie lactée. Sommes nous ou non face à une manifestation d'une intelligence..
Ce télescope a été conçu pour regarder l'Univers tel qu'il était au commencement...
En regardant Andromède il livre la vue d'une danse d'anneaux, une chorégraphie synchronisée, une symétrie initial...
La lumière d'Andromède transparaît...
Si nous sommes confrontés à des impulsions au rythme biologique, le signal persiste mystérieux, vibrant Et si c'était plus que cela ? Et si nous étions confrontés à la première preuve d'une intelligence qui ne communique pas comme nous, qui ne bouge pas comme nous mais qui façonne des galaxies entières comme des symboles ?...
Comment des messages s'intègrent ils à la matière du cosmos ?
C'est une question qui touche presque au mysticisme, c'est pourquoi elle est évacuée par la science...
(En science ignorer un « phénomène », ignorer le doute est peut-être plus dangereux que de l'affronter...
Andromède,vu sous ces nouveaux aspects, représente un avertissement dans la symétrie de notre Univers proche. Peut-être sommes-nous au début de quelque chose qui vient de loin mais qui nous atteindra inévitablement...
Ce sont là des questions que nous ne savons même pas formuler, une invitation pour voir à quel point nous sommes aveugles à ce qui a toujours été visible...
Quelque chose d'ancien, qui vibre, qui s'éveille peut-être lentement, le reflet cosmique de nos propres expériences quotidiennes...
Nous vivons comme des galaxies, chaque personne est un ensemble de forces en orbite, de désirs, qui tournent en pensées qui entre en collision, de souvenirs qui se perdent au seuil de l'oubli comme des étoiles éjectées de systèmes instables et pourtant nous essayons de faire en sorte que tout se passe bien...
Comme s'il était possible d'apprivoiser le chaos avec la routine, comme si nous pouvions intégrer l'infini dans un programme hebdomadaire. Mais l'Univers est un miroir impitoyable et quand il commence à émettre des signaux inhabituels,il essaye de nous dire quelque chose, quelque chose que nous devons entendre...
La vérité est que nous sommes entourés de bruits invisibles, de messages qui proviennent de nous et non de l'extérieur...
Avez-vous déjà connu le sentiment soudain et inexplicable que quelque chose n'allait pas (pas avec le monde) en vous, un malaise interne, avec vous-mêmes, avec votre façon de vivre.
Ce sont des questions que vous n'avez jamais posé qui sont comme une impulsion, une fréquence vibrant silencieusement et si nous pouvions déchiffrer cette impulsion de la même manière que les astronomes interprètent les spectres lumineux des galaxies, peut-être découvrions-nous qu'une grande partie de nos souffrances vient précisément de notre résistance aux vérités profondes...
Nous sommes tous à la dérive dans un cosmos que nous ne savons pas encore habiter, nos routines façonnant nos croyances...
L'idée que l'Univers est silencieux, sans but, juste un mécanisme froid, ce n'est pas le résultat d'une analyse rationnelle mais le reflet du style de vie que nous menons...
Nous vivons anesthésiés et nous appelons cela la clarté...
Que nous apprennent ces découvertes : Sur Andromède on note des impulsions lumineuses qui ne devraient pas exister.
Question : quels sont nos propres systèmes d'orbites qui soutiennent notre existence ?
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Notes Bran Du (Suite)
L'UNIVERS n'est pas ce que nous en croyons, n'est pas les théories que nous avons échafaudé pour tenter de le comprendre...
Toute la physique, l'astronomie, la cosmologie concernant cette étude est à revoir, à reprendre sous d'autres angles, à diriger vers d'autres orientations....
Les dernières découvertes du télescope James Webb bouleverse le monde scientifique et suscite des interpellations majeures...
Repenser nos conceptions erronées sur ce sujet délicat et conséquent o combien ne fait actuellement que faire tomber une avalanche de « peut-être » soit des hypothèses, des suppositions et supputations difficiles à étayer et à argumenter qui impliquent une révision totale de notre pensée...
Non seulement nous méconnaissons finalement notre Univers, si celui-ci est organisé, s'il répond à une intelligence, s'il à un but, si une « intention » le guide ?...
Nous ignorons de même, quand il a véritablement commencé, s'il a même un commencement et une fin ?...
Et dans quelle mesure, si nous sommes partie, fragment, composant du dit Univers, sommes-nous à son image, animés de communes « fréquences », récepteurs de messages , de données, d'informations...
Bien des éléments apportés par ces découvertes nous enseignent que le « linéaire » n'est pas notre anima mais bien le cycle et ses circonvolutions.
Notre pensée même ne serait pas linéaire mais circulaire à l'image des galaxies et nous serions lors une galaxie parmi d'autres régie par des lois similaires obéissant à la Loi des lois : la Loi d'Evolution !....
Unis... vers... Unis, certes, par nécessité et évidence de survie, mais pour aller ensemble vers quoi ?..
Nous serions alors les éléments et étapes d'une trajectoire qui aurait une destination pour l'heure insoupçonnée !...
Ce n'est pas semble-t-il nos facultés rationnelles, cartésiennes mêmes qui peuvent nous apporter là ou les solutions mais peut-être une association fertile entre physique et métaphysique...
Nous devons faire pour l'instant avec beaucoup d'inconnus mais comme disait une poétesse « L'inconnu me remettra au monde », espérons lors que ce soit dans un monde où le chaos serait réellement organisé afin de mettre enfin en œuvre les lois d'équilibre et d'harmonie qui nous font tant défaut...
Mais c'est là prêter des « Intentions » supposées à « Cela qui Fût, Est et Serra », soit une Entité, une Matrice, une Essence et une Substance que l'on ne saurait définir et qui poursuit l'indéfini de son œuvre !...
(Avec ou non notre humain concours sous des formes et des modalités de coopération, à supposer, à éclaircir, à concevoir et à expérimenter !)...
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Ce qu'en dit Philippe JOUET (Dictionnaire de la Mythologie et de la Religion celtique) Anbanner éditeur.
(Cosmologie / Cosmogonie / Religion cosmique / Astronomie...)
L'astronomie est connue et pratiquée par les Celtes. Elle fût mise à contribution pour l'établissement d'un calendrier très précis...
La cosmologie dépend largement de la cosmogonie...
Est « cosmique » tout ce qui relève des conceptions traditionnelles de l'Univers, de la Terre et des Cieux, des Puissances qui les habitent, des mouvements qui les animent...
Les récits et images de la cosmologie éclairent la cosmogonie...
Cosmologie : discours sur l'organisation du monde et de l'Univers... Plusieurs conceptions imagées se retrouvent chez les peuples indo-européens historiques...
L'imagerie monétaire offre des représentations d'astres. Sur certaines monnaies l'image habituelle du sanglier a été remplacée par celle d'une comète. Des monnaies coriosolites datée de 100 à 60 avant J.C. Portent l'image de la comète de Halley en juillet 87 avant J.C...
Il a été établi que les fêtes celtiques du modèle irlandais pouvaient être associées au lever héliaque des quatre étoiles, les deux étoiles zodiacales (Antarés et Aldébaran) qui permettent de repérer deux moitiés de l'année correspondant aux saisons climatiques (été-hiver) et Sirius et Capella...
Les fêtes d'été sont déterminées par Aldébaran et Sirius. Les fêtes d'hiver par Antarés en Novembre et Capella, la Chèvre en février...
L'hiver est dominé par le Cygne, l'été par le Taureau...
Les Celtes avaient intégrés l'expérience millénaire accumulée par leurs prédécesseurs en Europe Centrale et occidentale dont témoignent notamment les monuments mégalithiques...
Les connaissances druidiques sur le ciel et les astres font partie des investigations de ceux-ci selon César...
Plusieurs statuettes gallo-romaines, dont certaines doivent représentées des divinités protectrices, portent des ornements stellaires et cosmiques...
(Le monde védique peut-être anti-cosmique lorsqu'il ne veut pas d'un monde ordonné et habitable ; d'une puissance d'obstruction et de résistance. Pour caractériser les êtres mythiques, les événements, les procédés qui portent atteinte et s'opposent à la bonne marche du monde...)
En général un Univers naît du reste du précédent. Le monde sensible sort du chaos (pas d'un néant.)...
Temps et espace étant relatifs, il n'y a pas de création absolue... Il en est de même chez les Celtes.
« Les âmes et l'Univers sont indestructibles enseignent les druides, mais un jour l'eau et le feu prévaudront sur eux. » (Strabon)
Le Dieu AED (Feu) est dit Dagda « dieu bon », Renaissance du Monde, du Temps, du Vécu... le Père de Tous (Ollathir) connectent l'action d'une entité régénératrice dans le ciel du jour...
D'autres récits supposent un monde déjà établi mais pouvant contenir des indications de scénarios cosmogoniques (ou de leur commémoration)...
La procédure verbale du barde Ameurgen à son arrivée en Irlande reconnaît les réalités et exprime l'ordre universel...
« La paix (soit) jusqu'au ciel, le ciel au-dessus de la terre, la terre sous le ciel, la force en chacun. »
Il y a une pseudo histoire des origines irlandaises.
Suivant un texte tardif, « les Tuatha De Danann à leur arrivée en Irlande façonnèrent des pierres et des arbres en forme d'homme : tous les oiseaux et les animaux crièrent. Ils mirent ténèbres et obscurité sur le soleil, toute action qui effrayèrent les Fomoires. »
Les récits relatifs à la harpe du Dagda et aux trois modes musicaux supposent un mythe d'éveil du monde par le son....
D'autres conceptions ont pu exister...
Cosmologie : Le ciel est soutenue par un arbre des mondes, une colonne ou une montagne, des étais cosmiques, par le Feu vertical du Sacrifice (fumée ou parole efficace, par le feu central de Mide.)
La terre flotte sur les eaux, est entourée par les eaux nocturnes et la rivière céleste (Boand) où navigue le soleil, des enfers et ciel multiples sont étagés...
Les conceptions n'ont pas toutes la même ancienneté...
La Religion Cosmique :
L'un des plus anciens systèmes religieux des Indo-européens indivis..
(Sans doute à partir des conceptions européennes communes durant le Paléolithique identifiée par la reconstruction.
Il s'agit d'un ensemble d'idées, de conceptions, d'images et de symboles relatifs à la nature et aux mouvements du monde vécu, à la place des corps célestes (puissances parfois plus anciennes que les dieux, dieux premiers ou dieux antérieurs, dits anachroniquement « Dieux de l'Univers » et aux rapports que l'homme entretient avec ces réalités.
Les régularités cosmiques apparaissaient comme l'effet d'un engament des puissances une fois reconsidérée la part du naturalisme dans l'édifice religieux...
La reconstruction de la religion cosmique à fait l'objet de plusieurs études dont se dégage principalement ceci :
L’étymologie des noms des dieux et du jour permet d'identifier une entité spatio-temporelle, le ciel diurne (le ciel pendant le jour). Cette définition suppose une cosmologie dynamique dont la Tradition porte des traces importantes : un ciel diurne et deux autres, un ciel crépusculaires (du soir et du matin) et un ciel nocturne, tournent autour de la terre. Leurs couleurs (blanc, rouge et noir) s'appliquent à l'individu, à la société (puis aux trois fonctions) et à l'histoire du monde.
Il y a aussi un océan et des fleuves célestes et une source universelle des eaux liées à l'Aurore...
Il y aurait eu une cosmologie dynamique selon laquelle deux ciels, l'un diurne, l'autre nocturne, séparés par un crépuscule rouge (du soir et du matin) se succèdent autour de la terre.
(La partie vivante de l'année se confond avec la Belle Saison.) (Il y a de nombreux mythes d'Aurores enlevées et captives. Voir les contes populaires.)
Il y a aussi un océan céleste, des fleuves célestes e une source universelle des eaux liées à l'Aurore. (Notions qui furent remplacées par un océan qui entoure la terre.)...
Les conceptions de la Religion Cosmique éclairent le contenu de la Tradition Celtique qu'il s'agisse de la doctrine des cycles, de la pseudo histoire des peuplements de l'Irlande, de la théologie (Dieu des trois cieux, Aurores) de la doctrine du héros ou de l'immortalité...
Ceux qui conquièrent la Belle Saison de l'année s'immortalisent ou deviennent des héros dont le nom Grec est apparenté à celui de l'année...
Une condition préalable à cela est énoncée par le schème narratif « traverser l'eau de la ténèbres hivernale», la période diurne et nocturne (comme le fait aussi le jeune soleil (Oengus). Entre la période diurne et nocturne s'intercalent les «Aurores » de l'année »...
On distingue deux stades dans le développement des conceptions Indo-européennes à cette époque : antérieur quand la prééminence est donnée aux mouvements des luminaires dans le ciel nocturne (lune et étoiles) ; récente, quand les feux des trois mondez ont pris de l'importance dans la cosmologie et la mythologie (soleil, foudre, feux terrestres et souterrains...)...
Estompées ou absorbées par des conceptions plus récentes comme les trois fonctions sociales de la religion politique, les conceptions de la religion cosmique ont cependant persisté dans les cultures historiques issues des indo-européens...
La Tradition Celtique en particulier en a conservé de nombreux éléments, notamment dans la mythologie et l'imagerie...
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Des Atlantes selon Ph Jouet
Des notions différentes ont été regroupées sous ce terme)( en plus du récit platonicien.)...
Le nom d'Atlas, un soutien du pôle céleste, révèle sa place initiale dans la cosmologie. Selon Diodore de Sicile les habitants des rives de l'océan (un peuple particulièrement pieux et juste) furent initiés à la vie civilisée par leur premier roi : Ouranos lequel conquiert en particulier ! »les régions du couchant et du Nord ».
La multitude « admirait l'accord des événements avec les prédictions d'Ouranos » et lui attribua après sa mort des honneurs immortels...
« A cause de ses bienfaits et de sa connaissance des astres » ayant eu « une connaissance intime des couchers et des levers des astres et de tous les phénomènes de l'Univers. »
Ouranos est une entité cosmique (ciel nocturne étoilé) et ses facultés ont un rapport avec la pratique de l'astronomie dans une région marquée par le courant du mégalithisme....
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DOSSIER UNIVERS : Suite
Réflexions, documentations et sources de celles-ci Bran Du 20 01 2025
A l'heure troublante où le télescope James Webb, la sonde « Voyager », transmettent de plus en plus de données et d'informations qui bouleversent totalement le milieu scientifique au point de l'amener à reconsidérer ses conceptions et théories, et où l'Univers reprend ses prérogatives de mystères insondables, il me semble utile, voir nécessaire, de se pencher nous aussi sur le dit Univers ; sur ce que nous pouvons en savoir selon les anciens druides et les divers postulats qu'ils ont développé dans le temps en ajoutant modestement à tout cela nos propres réflexions et interpellations...
C'est à dire, et en l'état des lieux, des postulats, des supputations, des hypothèses plus ou moins utopiques en attente d'éventuelles et étonnantes validations...
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« Allons-nous trouver la théorie du Tout...
« Formuler la théorie du Tout, celle qui décrirait toutes les lois de l'Univers à partir d'une seule loi fondamentale marquerait l'apogée de la physique. Nous pourrions enfin comprendre les mystères qui nous résistent encore... » ARTE
Notes Bran Du
« La théorie du Tout » se tient aussi dans les fragments et parties que nous sommes de ce Tout si nous considérons que Tout et partie forment un ensemble interdépendant, interrelié et inter-communiquant...
Si nous sommes bien « constitutifs » de ce Tout alors il doit nous être possible de l'appréhender en nous-mêmes, d'en chercher la place et ses manifestations et expressions, d'en détecter l'Anima, d'en identifier la Présence, l'Essence et la Substance...
Et d'instaurer alors une relation mutuelle en quête d'entendements et de compréhensions réciproques et adéquates ....
L'une des notions que nous partageons et la dimension cyclique du temps, des êtres, des choses soit d'un monde circulaire et non linéaire ; l'année celtique s'inscrivant parfaitement dans cette conception et l'illustrant d'ailleurs...
Si l'origine de toute « création », mise ou remise au monde, relève bien du Souffle géniteur alors nous nous devons d'interpeller notre propre Verbe, notre propre « Logos », notre propre Parole, notre propre Voix, notre propre Langage, notre propre Chant, notre propre Poème, notre propre Musique et sans doute notre propre silence et l'état de nos conjugaisons verbales avec tout ce qui nous entoure ( Nature, Règnes, Éléments,) avec donc tout le « Vivant de la Vie »......
En n'oubliant pas qu'Aimer est le maître de tous les Verbes et de toutes leurs conjugaisons !...
La pertinente o combien question qui porte sur l'origine de l'Univers, sa création, ses lois, son organisation, ses éventuels buts et objectifs, a été appréhendée de diverses et multiples façons dans le monde Indo-européen historique et dans la société celtique avec quelques particularités.
Les conceptions formulées ont aussi fait l'objet de révision, de re-visitation, d'évolution et « d'actualisation »...
(Ainsi, par exemple, le passage progressif d'une religion celtique dite « cosmique » en première période à une religion politique, sociale, en seconde période mais n'éliminant pas tous les éléments cosmiques de la période antérieure...)
Nous ne disposons pas d'éléments provenant des druides eux-mêmes pour connaître ce qu'ils professaient en terme de connaissance de l'Univers..
Quelques éléments comparés montrent une diversité conceptuelle et des variations dans ce domaine « fluctuant ».
La Vie étant « Mouvement », les astres aussi, ils se sont bien gardés de figer et de fixer celui-ci et je ne leur donne pas tord... Ils ont pris le parti de la Vie et adhéré pleinement aux mouvements de Celle-ci...
Et il nous appartient me semble-t-il de faire de même...
Concevaient-ils une Conscience, une ou plusieurs Puissances à l’œuvre, des Lois, une « Intention », une « Intelligence », une « Organisation », un « But » ou « Objectif », un « Commencement » ou une absence de «Commencement », un Chaos ou un Néant, une « Essence », une « Substance », un « Principe », un « Anima », une « Dynamique », des « Forces », des « Energies » », une « Lumière », des « Ondes », des « Vibrations, Une « Fréquence d'émission, de transmission, de réception », un « Souffle », un « Verbe » ? Ils ont assurément et certainement fait le tour de tous ces possibles ingrédients et en ont approfondi et assemblé assurément certains.... et, faute de confirmations des éléments retenus par eux, il nous appartient de faire de même et d'explorer à notre façon notre continent ou univers intérieur !....
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Au-Delà des galaxies vidéos récentes https://www.youtube.com/watch v=DwDQB2VMbA4
Ce que révèle le télescope J Webb remet en cause Einstein et tout ce que nous pensions savoir sur l'Univers...
Des galaxies géantes apparut trop tôt, des tensions inexpliquées dans les données d'expansion cosmique, l'échec du modèle des trous noirs, et même des doutes sur le fond diffus cosmologiques, la soi-disant preuve du Bing-Bang...
Les découvertes récentes sont les plus troublantes de l'histoire de la cosmologie...
(L'idée que l'Univers pourrait avoir une structure, une direction, voir une conscience.)...
Mystère et questionnement existentiel se rejoignent. Rien de ce que vous saviez n'est à l'abri...
Le télescope J Webb a détecté sur la face nocturne de Proxima Centauri B des motifs lumineux évoquant des motifs lumineux évoquant des infrastructures urbaines artificielles. Une découverte confirmée par plusieurs centres de recherches.
Ceci révèle l'existence d'une possible technologie extra-terrestre ce qui amène à une rupture radicale de nos connaissances de l'Univers.
Ces données scientifiques, philosophiques et civilisationnelles suscitent des suggestions au niveau de la conscience, de la vie intelligente et sur notre place dans le cosmos.
Ce ne sont plus des spéculations. La preuve brille sous nos yeux...
Mais que signifie réellement cette lumière ?
(Au-delà des Galaxies 23 06 2025)
Une vérité révélée et dérangeante. L'Univers que nous avons étudié, modélisé et expliqué pendant des décennies est peut-être erroné non pas à cause de détails techniques ou de calculs mal ajustés mais à cause d'une faute fondamentale dans la logique même que nous utilisons pour interprété la réalité...
Selon les lois classiques, la gravité qui s'applique à tout diminue avec la distance. Plus un corps est éloigné de la source gravitationnelle plus son accélération est faible (Ainsi Mercure subit une bien plus grande force que Pluton.)
Par analogie la même chose devrait s'appliquer aux étoiles situées aux confins d'une galaxie.
Une gravité moindre amène à une vitesse moindre.
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Au-delà de la Terre.... 26 06 2025
Notes Bran Du...
Si, comme il est de plus en plus largement avéré que le temps cosmique n'est pas celui théorisé par les scientifiques jusqu'à présent et qu'il apparaît un développement circulaire et non linéaire de celui-ci alors notre temps « conventionnel » se doit lui aussi d'être appréhendé d'une nouvelle façon et notre rapport à lui, la compréhension que nous en avions, revisités totalement !...
Dans bien des Traditions la notion de temps est fluctuante et flexible voire élastique et oscillatoire. Elle est souvent symboliquement et analogiquement représentée par une roue quand il s'agit de concevoir l'année...
(C'est le cas notamment dans la tradition celto-druidique qui elle aussi obéit à la loi des cycles dont le commencement et la fin se renouvellent sans cesse baignant alors au sein de l'absolu et de l'infini.)...
Certes l'idée d'un « commencement » a été abordée sous plusieurs modèles dans les Traditions Indo-Européennes par exemple mais non définie et conceptualisée définitivement par toutes les dites Traditions qui diffèrent entre elles. Il ne semble pas qu'il y ait eu une doctrine fondamentale s'imposant à tous et à toutes...
(Pour rappel Strabon nous dit de la pensée celtique que « l'Univers et l'Âme sont indestructibles mais qu'un jour prévaudront sur eux l'Eau et le Feu.»
Mais l'Univers n'est-il pas lui aussi Eau et Feu et l'Âme également ?
La grave et préoccupante question de savoir si l'Univers a ou non une origine, un début d'existence et de manifestations ou non, importe en effet...
Car cela nous interpelle quand à savoir d'où nous venons pour mieux espérer comprendre où nous sommes et vers quel avenir/devenir nous allons ?
Voici donc une occasion inespérée de remettre à plat comme les scientifiques d'ailleurs en ce qui concerne leurs conceptions lors périmées de l'Univers nos propres « connaissances » et surtout nos modèles plus ou mois affirmés et adéquats !...
Et si, en effet, il n'y avait pas « d'origine » mais un Mouvement, une Conscience, un Amima, une Essence « Incrée » comme nous disons de notre « Dieu » dans nos invocations druidiques ?
Si « Cela qui fut » n'était que la continuation cyclique de ce qui a été antérieurement en évoluant dans une reproduction comprenant des constantes et des « améliorations » relevant de données informatives nourrissant à chaque cycle une « Loi d'Evolution permanente » ?
Voilà de quoi cogiter n'est-ce pas ?
Mon « Âme », si je considère comme vraie l'existence de Celle-ci, co-participe de cela, est partenaire lucide et éclairée de ces nouvelles et troublantes conceptions dès que ma Conscience en valide la présence et en comprend l'alchimique fonction qui consiste à spiritualiser la matière qui lui sert de support matériel et corporel, c'est-à-dire nous-mêmes !...
(Avec semble-t-il la « charge » de collecter des données émanant du fruit de nos expériences terrestres le temps de notre existence...)
Si comme il semble toutes les époustouflantes découvertes récentes se confirment, nous serions, lors et, à priori, individuellement et singulièrement, une partie, un fragment composite du dit Univers et de sa fonction de collecteur de données assurant son évolution constante et permanente !...
Un autre question se pose en correspondance avec celle-ci : Si notre univers conceptuel apparaît de plus en plus sous une autre forme que la prétendue définition faite et retenue jusqu'alors et si s'ajoute à cela la notion de « multivers » supposant que la Vie pourrait s'être aussi développée en d'autres parties inconnues du cosmos alors nos bouleversements idéologiques sont d'autant plus conséquents et époustouflants amplifiant d'autant le champ illimité de nos interrogations et investigations !...
Comme le disait si bien la vision d'Hubert Reeves (astrophysicien) nous serions, dans la perspective de l'existence réelle d'un « multivers » non seulement une poussière d'étoiles mais la mémoire vivante et perpétuée d'autres galaxies que la nôtre partageant des formes de vie singulières et des intelligences et sensibilités multiples...
(D'autres laboratoires expérimentaux du Vivant de la Vie multipliant les sources et données informatives d'une Evolution nourrissant tous et chacun et « l'Indéfini » Lui-même !)...?
Si nous retenons ce qui est énoncé précédemment et acceptons le postulat qui s'en dégage, la quête d'une « origine » n'a plus lieu d'être à priori...
Ce qui nous laisse donc nous concentrer librement alors sur « l'instant présent » et une finalité «éventuelle » transcendant la « Mort » et l'incorporant de ce fait dans le processus même de la Vie dont elle procède !...
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Au-Delà des Galaxies suite, reprise des données informatives et des questionnements qui en résultent...
Le télescope J Webb révèle des scénarios inattendus : une organisation là où l'on s'attendait au chaos, des galaxies matures là où l'on ne devrait trouver que des traces précoces de formations et des structures colossales qui n'auraient tout simplement pas dû exister si tôt dans l'histoire cosmique...
(Selon les modèles traditionnelles, les galaxies apparues sitôt après le Big-Bang devraient être chaotiques et instables!)...
Dans cette pépinière stellaire, une galaxie nous surprend par sa structure bien définie semblable à celle de notre voie lactée avec une barre centrale et un taux de formation d'étoiles 300 fois supérieures...
Le plus déconcertant encore, aucun signe de collision ne se manifeste autour d'elle. Elle semble s'être formée sereinement dans un Univers qui en théorie était encore en conflit avec ses propres forces de perturbations gravitationnelles !...
Nos hypothèses actuelles sont profondément erronées...
Au lieu de découvrir dans le cosmos profond un chaos primordial comme nous l'espérions, nous observons de véritables cathédrales cosmiques construites avant même que les fondations prédites ne soient en place !
Cela nous oblige à revisiter une question fondamentale : Qu'est-ce que le temps dans le contexte cosmique ?
Est-il possible que la structure de l'Univers ait déjà été en formation avant même ce que nous appelons aujourd'hui le commencement ?
…..
Les modèles traditionnels fondés sur la théorie de l'attraction cosmique et la présence de matière noire froide ne peuvent rendre compte des observations actuellement faites... Il existe un interval critique entre 300 millions et 500 millions d'années après le Big-Bang où des galaxies émergent avec une complexité qu'aucune simulation moderne ne peut reproduire...
Nous serions peut-être en présence d'un cosmos différent de celui produit par les théories établies...
Nous sommes amenés à être confrontés non seulement à une révision des données mais à une révolution complète de notre compréhension de l'Univers...
Les découvertes récentes remettent en question tout ce que nous savions sur les origines de l'Univers obligeant les scientifiques à repenser les modèles cosmologiques, la structure du temps et même le rôle de la Conscience dans l'ordre cosmique...
L'impact le plus important ne se situe pas sur la physique mais sur l'esprit humain...
Pendant des siècles l'humanité à chercher un sens dans les cieux. Au fil du temps, nous nous sommes habitués aux explications scientifiques, froides, rationnelles et mathématiques. Nous avons appris à faire confiance aux modèles, aux graphiques, aux prédictions mais aujourd'hui l'Univers semble se moquer de notre confiance.
Il en résulte des données qui ne correspondent pas à nos équations, des images qui ne correspondent pas aux histoires que nous nous racontions. et ce n'est pas seulement un défi scientifique, c'est un choc existentiel parce que si l'Univers a commencé plus vite, plus intelligemment et plus créatif que nous ne le pensons que sommes-nous d'autres sous-estimés ?
Que pourrait-il y avoir d'autre caché sous le voile de la distance et du temps ? Et s'il y avait un puzzle beaucoup plus grand encore, une mosaïque qui démantèle l'idée d'un univers passif et qui confirme que le cosmos à toujours été un mécanisme de création violent, rapide et étonnamment efficace ?
Ce sont là des questions auxquelles les scientifiques ne parviennent toujours pas à répondre mais les données sont là et elles ne cesseront d'affleurer.
Voir si loin aujourd'hui change tout...
En nous croyons savoir mais nous ne savions pas...
Cela implique une nouvelle attitude envers la connaissance ; une connaissance, plus ouverte, moins dogmatique et plus humble face à l'inconnu...
Nous avons en fait à faire face à un Univers en constante réinvention et c'est là un défi qui nous est posé ; un défi « libérateur » car lorsque nous reconnaissons que le cosmos n'est pas une machine mais une structure en constante émergence créative nous devenons nous-mêmes partie de cette fluidité et c'est là que l'impact social s'intensifie...
Les plus grandes vérités n'ont pas encore été dites et peut-être ne le seront-elles jamais...
La réalité est vivante et c'est l'occasion de reconsidérer qui nous sommes et comment nous choisissons de vivre et cela change tout...
Notes Bran Du :
Si l'Univers est en constate réinvention, il est fort possible alors que nous soyons amené à l'être aussi d'autant plus si nous sommes également une structure en constante émergence créative......
Notre pensée, notre conscience, notre intuition et notre inspiration modifient sans cesse l'être que nous sommes et aspirons à parfaire...
Ainsi nous innovons en permanence nos rapports, nos compréhensions et entendements, à nous mêmes, aux autres et à l'Univers...
D'où l'importance d'être créatifs, créateurs et de mettre au monde, d'extérioriser, le fruit éveillé et maturé de nos évolutions internes...
Les découvertes bouleversantes actuelles en terme de cosmologie et d'Univers nous amènent à reconsidérer l'état de nos connaissances, à les revisiter, à les remettre en cause si besoin et nécessité...
C'est là une énorme stimulation et une extraordinaire aventure à laquelle le ciel infini nous convie...
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Au-delà de la Terre.... 26 06 2025
Notes Bran Du...
Si, comme il est de plus en plus largement avéré que le temps cosmique n'est pas celui théorisé par les scientifiques jusqu'à présent et qu'il apparaît un développement circulaire et non linéaire de celui-ci alors notre temps « conventionnel » se doit lui aussi d'être appréhendé d'une nouvelle façon et notre rapport à lui, la compréhension que nous en avions, revisités totalement !...
Dans bien des Traditions la notion de temps est fluctuante et flexible voire élastique et oscillatoire.
Elle est souvent symboliquement et analogiquement représentée par une roue quand il s'agit de concevoir l'année... (C'est le cas notamment dans la tradition celto-druidique qui elle aussi obéit à la loi des cycles dont le commencement et la fin se renouvellent sans cesse baignant alors au sein de l'absolu et de l'infini.)...
Certes l'idée d'un « commencement » a été abordée sous plusieurs modèles dans les Traditions Indo-Européennes par exemple mais non définie et conceptualisée définitivement par toutes les dites Traditions qui diffèrent entre elles. Il ne semble pas qu'il y ait eu une doctrine fondamentale s'imposant à tous et à toutes...
(Pour rappel Strabon nous dit de la pensée celtique que « l'Univers et l'Âme sont indestructibles mais qu'un jour prévaudront sur eux l'Eau et le Feu.»
Mais l'Univers n'est-il pas lui aussi Eau et Feu et l'Âme également ?
La grave et préoccupante question de savoir si l'Univers a ou non une origine, un début d'existence et de manifestations ou non, importe en effet...
Car cela nous interpelle quand à savoir d'où nous venons pour mieux espérer comprendre où nous sommes et vers quel avenir/devenir nous allons ?
Voici donc une occasion inespérée de remettre à plat comme les scientifiques d'ailleurs en ce qui concerne leurs conceptions lors périmées de l'Univers nos propres « connaissances » et surtout nos modèles plus ou mois affirmés et adéquats !...
Et si, en effet, il n'y avait pas « d'origine » mais un Mouvement, une Conscience, un Amima, une Essence « Incrée » comme nous disons de notre « Dieu » dans nos invocations druidiques ?
Si « Cela qui fut » n'était que la continuation cyclique de ce qui a été antérieurement en évoluant dans une reproduction comprenant des constantes et des « améliorations » relevant de données informatives nourrissant à chaque cycle une « Loi d'Evolution permanente » ?
Voilà de quoi cogiter n'est-ce pas ?
Mon « Âme », si je considère comme vraie l'existence de Celle-ci, co-participe de cela, est partenaire lucide et éclairée de ces nouvelles et troublantes conceptions dès que ma Conscience en valide la présence et en comprend l'alchimique fonction qui consiste à spiritualiser la matière qui lui sert de support matériel et corporel, c'est-à-dire nous-mêmes !...
(Avec semble-t-il la « charge » de collecter des données émanant du fruit de nos expériences terrestres le temps de notre existence...)
Si comme il semble toutes les époustouflantes découvertes récentes se confirment, nous serions, lors et, à priori, individuellement et singulièrement, une partie, un fragment composite du dit Univers et de sa fonction de collecteur de données assurant son évolution constante et permanente !...
Un autre question se pose en correspondance avec celle-ci : Si notre univers conceptuel apparaît de plus en plus sous une autre forme que la prétendue définition faite et retenue jusqu'alors et si s'ajoute à cela la notion de « multivers » supposant que la Vie pourrait s'être aussi développée en d'autres parties inconnues du cosmos alors nos bouleversements idéologiques sont d'autant plus conséquents et époustouflants amplifiant d'autant le champ illimité de nos interrogations et investigations !...
Comme le disait si bien la vision d'Hubert Reeves (astrophysicien) nous serions, dans la perspective de l'existence réelle d'un « multivers » non seulement une poussière d'étoiles mais la mémoire vivante et perpétuée d'autres galaxies que la nôtre partageant des formes de vie singulières et des intelligences et sensibilités multiples...
(D'autres laboratoires expérimentaux du Vivant de la Vie multipliant les sources et données informatives d'une Evolution nourrissant tous et chacun et « l'Indéfini » Lui-même !)...?
Si nous retenons ce qui est énoncé précédemment et acceptons le postulat qui s'en dégage, la quête d'une « origine » n'a plus lieu d'être à priori...
Ce qui nous laisse donc nous concentrer librement alors sur « l'instant présent » et une finalité «éventuelle » transcendant la « Mort » et l'incorporant de ce fait dans le processus même de la Vie dont elle procède !...
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Les éventuels composants de la réflexion sur l'Univers:
L'Univers lui-même
Une Conscience
Une Puissance (ou plusieurs?)
Une Loi, une cosmologie cyclique et non linéaire
Une « Intention »
Une « Intelligence »
Absence de l'Aléatoire et du Hasard
Une « Organisation », un But, un Objectif
Son « Origine » supposée si « Origine » il y a ?
Un commencement, un non commencement, un recommencement périodique soit une continuation
Interdépendance, échos et résonances de l'Univers en nous-mêmes
Nous serions lors partie et fragment de cet Univers, d'un Tout dons nous sommes aussi l'expression...
Univers et nous-mêmes, mutuellement en quête d'informations nourrissant la Loi d'Evolution
Le mouvement, l'anima sans inertie ni dogme ni fixation Une mémoire vivante
Une dynamique et non une matière inerte
Des étapes transitoires
Un immense et infini questionnement dont la réponse ultime est peut-être au fond, au plus profond de nous-mêmes
Un Chaos mais non le Néant « Lumineux » et non totalement sombre
Une fractale cosmique où la Figure-Mère originelle immanente réapparaît ponctuellement au cours du processus de développement
Un temps et un espace « relativisés ».
Des conceptions à revoir entièrement (physiquement, scientifiquement métaphysiquement, intuitivement, sensiblement et rationnellement) et « socialement »
L'importance des règnes et des éléments (Eau/Feu/Air/Terre/Ether) en tant qu'apports de recherches, d'interactions, de conjugaisons
Notions de Force, d'Energie, de Lumière, d'Ondes, de Vibrations, de Flux, de Fréquence...
Notions d'Essence, de Substances, d'Anima
Notions de Verbe, de Logos, de Souffle, de Paroles efficaces et justes, de Vérité
Une Inspiration, une Vision, une Perception, une Intuition et une Créativité
Un Chant, une Danse, un Poème, une Musique, un Son accordé, une Concorde, un Entendement, un discernement, un Equilibre, une Harmonie
Un Don, une Prodigalité, une Générosité, un Altruisme, une Offrande, une Bienveillance, une Bienfaisance, une Entraide, des Rites sacrés en remerciement...
De l'AMOUR ? ! ...
Qui lors nourrit « l'Intention » si Intention il y a ?
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